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Réunion du collectif

Nous nous rencontrons chaque mercredi à 20h30,

salle de la crèche à Poussan (à coté de la mairie)

 

Venez vous informer

Venez débattre

Venez participer à cette lutte  

 

 

 

 

Collectif NON à hinterland

Adresse postale :

chez Biocoop. Av de la Barrière.

34540. Balaruc le vieux

 

Mail :

non-hinterland@orange.fr

 

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21 janvier 2012 6 21 /01 /janvier /2012 10:26

La version courte du documentaire  : "Vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas" 

 

http://www.youtube.com/watch?v=AvYx-R_6GNE

 

Pour la version longue, nous vous invitons à venir à une des réunions d'information qui aura lieu dans les semaines à venir à Bouzigues, Poussan, Loupian ou Mèze.

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2 décembre 2011 5 02 /12 /décembre /2011 15:46

(ouvrez l'article pour que le lien fonctionne)

Vous voulez approfondir le sujet : http://www.nonhinterland.org/

 

 

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18 juin 2011 6 18 /06 /juin /2011 16:42

tract hinterland2

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19 mai 2011 4 19 /05 /mai /2011 12:05

 

Le développement des activités liées à la zone portuaire de Sète, souhaité par le Conseil régional et la Direction Régionale de l’Equipement LR, abouti à un projet touchant la Communauté de commune du Nord du bassin de Thau (CCNBT) et directement la commune de Poussan. L’ensemble foncier aux lieudits « Les Condamines » et « La plaine » avec leur 150 hectares, semble correspondre au critère nécessaire pour la création d’un Hinterland. Base arrière du port de Sète, ces terres serviraient de plate forme logistique, de lieux de stockage aux importateurs et exportateurs. La commune de Poussan a déjà émis un accord de principe pour la cession des parcelles et 1300 emplois seraient proposés.

 

Des habitants de Poussan et des villages alentours regroupés en un collectif émettent de grandes réserves à propos de ce projet pour les raisons suivantes :

 

- L’augmentation du trafic routier entre Sète et Poussan (par l’axe RD 600 qui sera progressivement porté à 2x2 voies) mais aussi sur les autres axes entrainera plus de pollution, de nuisances sonores et d’encombrements sur les routes.

Notons une autre réserve : notre dépendance au pétrole n’est pas prise en compte, alors que ses ressources s’épuisent de façon très alarmante.

 

- L’abandon de terres agricoles de très bonne qualité ce qui dans un contexte de crise alimentaire mondial n’est pas moralement acceptable.

De plus, ce choix ne privilégie pas la mise en place d’une agriculture locale, alors que pour un développement durable il faudrait relocaliser les productions.

 

- Un paysage naturel fait de jardins, de garrigues et de vigne va disparaître.

 

- Le projet engendrerait une artificialisation des sols ce qui aurait comme conséquence une imperméabilisation des sols qui compromet leur utilisation à des fins de production alimentaire. Elle favorise aussi le ruissellement de l’eau le long des pentes au détriment de son infiltration, l’érosion des sols, les coulées d’eau boueuse et le risque d’inondation.

 

- 40 hectares sur les 150 se trouvent à deux pas de l'étang et de la crique de l'Angle. Les risques de pollution de l'étang sont grands, notamment avec les zones de parking lessivées par la pluie, ce sont autant d'hydrocarbures, d'huiles, etc., qui filent vers la lagune.

 

- Les risques d’impact sur un écosystème déjà fragilisé sont réels.

 

- Les abords du village de Poussan déjà touchés par l’autoroute, bientôt par la ligne TGV perdra définitivement avec cette immense plate forme logistique, son charme qui en fait un des plus beaux villages de l’Hérault. Rappelons qu’en France, des abords des villes ou même de villages offrent malheureusement à la vue,  à l’inverse de nombreux autres pays, des zones commerciales, des ZAC………et une invasion de panneaux publicitaires. Il serait temps que ce type de développement urbain soit remis en cause.

 

- Notons également que pour le moment les citoyens n’ont pas été intégrés au processus de décision.

 

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